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Déviation n°02 : Se faire ban au bon lieu : les banlieues

Chandigarh 1951

Ville nouvelle, ville rêvée , ville importée

Mey Khemmar

Illustration 1 : « le terrain du capitole », Le Corbusier, 1951, (extrait d’Art et Architecture aujourd’hui, sept.1951

Illustration 2 : « Perspective du capitole », Le Corbusier, 1951, (extrait d’Art et Architecture aujourd’hui, sept.1951

Photo : Le palais de l'Assemblée de Chandigarh au premier plan face à la Haute Cour à l'arrière-plan. Image © Eduardo Guiot, utilisateur de Flickr CC

Une ville symbole , contexte de la création d’un manifeste politique 

 

« Une ville nouvelle, symbole de la liberté de l’inde affranchie des traditions passé, expression de foi de la nation en l’avenir. » Discours de Nehru, Hindoustan Times, 8 juillet 1950

 

En 1947, l'Inde vient de retrouver son indépendance après des années passées sous la domination de l’Empire britannique. Avec la partition de l'Inde, le Pendjab est divisé entre le Pakistan et l'Inde. Le Pendjab indien a alors besoin d'une nouvelle capitale pour remplacer Lahore, devenue pakistanaise, mais au-delà d’une simple nouvelle ville, Nehru vise à la construction d’un symbole.

Il imagine une vitrine de l'Inde moderne, le reflet d’un pays pleinement tourné vers l’avenir, à la hauteur de ses nouveaux défis et ambitions, la véritable « expression de foi de la nation en l’avenir » Nehru .La vision de Chandigarh se matérialise alors. Cela signifie « fort de Chandi », ce nom dérive de Chandi Mandir, un temple dédié à la déesse hindoue Candi, situé dans un district voisin .

L’enjeu est d’autant plus important que la ville passe de la capitale d’un seul état à la capitale de deux états .En effet , en 1966, le gouvernement indien crée l'état de l'Haryana qui est soustrait du Pendjab. Chandigarh en devient la capitale. La ville accueillera donc les administrations des deux États ainsi que celle du territoire d'Union.

Face à cette complexité géopolitique, il faut asseoir la dimension symbolique de la nouvelle ville.

 

Investigation d’un site

 

Le site de Chandigarh est situé près des collines de Shivalik, au pied de l’himalaya, sa superficie est d'environ 114 km2, elle est frontalière des districts de Mohali, Patiala et Roopnagar au Pendjab et Panchkula et Ambala en Haryana.

Pour Créer cette ville, Nehru fait appel au Corbusier.Avant de se diriger vers cette figure phare de l’architecture moderne Nehru a néamoins sollicité l’architecte américain Albert Maye qui nomme  le polonais Matthew Nowicki architecte en chef. Ce dernier décède cependant quelques temps après, abandonnant son projet.

Si Nehru propose au Corbusier d’ériger une ville ex nihilo, le site n’est pas totalement vierge, en effet, la conférence Chandigarh : de la ville moderne à la ville contemporaine met en lumière le pré existence d’agrégats ruraux tout autours du site, une investigation quasi anthropologique se fera alors sur site par pierre Jeanneret, qui, à travers les dessins et la photographie, livre les subtilités du terrain.

Des lors, et de 1951 à 1965, Le Corbusier, Pierre Jeanneret et des collaborateurs travaillent ensemble à la construction de la ville de Chandigarh.

Concepts clés de la planification urbaine

 

Les grandes lignes d’Albert Mayer sont reprises par Le Corbusier : « les architectes Mayer et Nowicki avaient déjà proposé un plan fondé sur la séparation brutale du Capitole et d'un maillage de voies sinueuses et différenciées et de secteurs définis par des services communs»

Chandigarh : d'une utopie sociale et architecturale, laboratoire urbanisme insurrectionnel

 

Le Corbusier régularise alors la maille de Mayer, et définit des  secteurs à partir des villages ruraux pré Chandigarh .Chaque secteur est un rectangle de 800 × 1 200 mètres de côté, et est composé d’espaces verts, de commerces, de divers équipements (dont des lieux de cultes) et bien sûr de logements. Le secteur 17 est au cœur du centre-ville ; en véritable lieu d’animation, c'est le centre principal de commerces, de restaurants, et d'hôtels.

Cependant, dans tous les autres secteurs, les magasins sont répartis de façon équilibrée.

​Le Corbusier élabore un système de circulation réfléchi et sophistiqué, 7 voies de circulation, hiérarchisant 7 niveaux de circulation dans la ville, allant de la voie rapide au chemin piéton et donc adapté à chaque type d'utilisateur. Cela vise à assurer une continuité piétonne et à fluidifier le trafic tout en préservant les zones d'habitation de ses nuisances. D’autre part, le grand parc Sud / Nord permet en théorie de traverser la ville en empruntant une série de jardins.

Au nord de la ville se déploie la « Chandigarh publique » et le centre du pouvoir politique, le Complexe du Capitole.

«Pour Le Corbusier, qui conçoit ses projets en faisant une analogie avec le corps humain, cette zone est comme la « tête » de Chandigarh, qui abrite les différentes administrations politiques et publiques de la ville (l’assemblée législative des États du Haryana et du Pendjab, la Haute Cour de justice et le Secrétariat)…l’esprit de Chandigarh s’incarne dans un symbole érigé en 1984 au pied du Capitole, aujourd’hui célèbre : une main tendue vers le ciel, ouverte pour donner, ouverte pour recevoir» Chandigarh, l’odyssée indienne de Le Corbusier,  Inès Boittiaux Beaux arts magazine.

La ville pratiquée, l’évolution indienne de Chandigarh Une invention occidentale ?

 

L’aspect le plus controversé de Chandigarh est son caractère importé ( Nilsson parlera même de greffon occidental ). En effet , avec cette nouvelle ville, le Corbusier a enfin l’occasion d’appliquer les résultats de ses recherches urbanistiques , en suivant les principes de la charte d’Athènes , témoignant ainsi de son aspect universel. Pourtant , beaucoup lui reprocheront la profonde méconnaissance du contexte culturel d’une civilisation riche , et cela , dû à son trop court séjour sur place (six semaines ) ,l’avenir de la ville va alors se heurter à des discours sceptiques « il est ironique que notre culture, pluraliste et intensément adaptative doive préserver une ville étrangère » (Bhatia).

Soixante dix ans après son édification, on peut, avec assez de recul, dresser le constat du développement indien d’une nouvelle ville aux concepts clés importés .

En effet loin de l’aspect utopique d’une ville-parc porté par le Corbusier, l’évolution de Chandigarh au prisme des enjeux d’étalement urbanistiques et du gigantisme indien divise, et pose la sempiternelle question des villes nouvelles : la confrontation d’un schéma urbain sur plan aux pratiques réelles de la ville.

Dans Chandigarh face à l’opinion : ville de l’avenir ou ville de l’Occident ?, Roland J.-L. Breton, questionne dans un premier temps, dans la conception de la ville, le schéma artificiel qu’est la trame orthogonale des huit niveaux de voies, soit la manifestation pure des théories de Le Corbusier exprimées jadis dans la Ville radieuse ou la Charte d’Athènes.

Cet ordonnancement peut être d’emblé controversé, face à la culture urbaine et  l’organisme des villes indiennes car relevant d’un « schéma de plus en plus rigide ». (Nilsson)

Or, la volonté de Nehru était d’ériger une ville du futur dans un site libéré et dégagé en rupture avec « des encombrements existants des vieilles villes et des vieilles traditions »(Nehru) donc rejeter un modèle organique de croissance par voisinage en faveur d’un ordre géométrique.

Au sein de cette trame, la voirie fut jugée trop surdimensionnée, Visitant les lieux dans les années 1970, Nilsson déclare « Ici la voiture n’est pas encore devenue une force destructive. » C’est cependant  ce qui arrive aujourd’hui , la trame large à donc prévenue la place que prendraient les circulations motrice et a évité ce qu’on observe dans d’autres villes indiennes: une forte pollution due à des émanations de moteurs et une circulation dense et surchargée (cas de villes comme Kolkata ou Mumbai ).

Ce modèle de voirie semble alors bien évoluer dans le temps et face aux mutations des moyens de locomotion en inde.

Une ville pour tous ?

 

D’autre part, L’article Laboratoire Urbanisme Insurrectionnel une utopie sociale et architecturale au service du néolibéralisme, questionne un aspect fondamental de Chandigarh, en mettant en exergue la mutation urbaine et sociale contradictoire aux objectifs de départ , notamment la mixité des classes.

En effet , aujourd’hui , dans la continuité de la fin du socialisme et de l'avènement du néo-libéralisme en 1991, et sous prétexte de conserver le patrimoine urbano-architectural de Chandigarh, les élites des municipalités successives mettent en place une sorte de Segregated City, investie par les 8 classes supérieures et moyennes. Cette posture est en totale contradiction avec l’idéologie d’une ville ouverte à l’ensemble des classes de la politique du gouvernement du Pandit Jawaharlal Nehru.Un symbole d’ouverture matérialisé par la sculpture monumentale de la Main ouverte, placée dans le complexe administratif .

Dans la réalité, on parle plus  d’une mutation de la ville au service de l’élite, aux dépens de vraies réformes progressistes. Et on voit se mettre en place un système d’expropriation des «indigents » dans les secteurs périphériques de la ville, dans des bidonvilles dont la localisation et l’expansion est très contrôlée : « contrairement à ce qui se passe dans les villes Indiennes, les bidonvilles qui osent s'implanter à proximité du centre, des secteurs d'habitat destinés aux élites et des secteurs des grandes institutions sont démolis systématiquement »( Laboratoire Urbanisme Insurrectionnel une utopie sociale et architecturale au service du néolibéralisme).

Les populations sont alors relogées dans des cités de transit constituées de baraques en brique ou en tôles d’aluminium. Ces citées s’inscrivent dans une typologie d’habitat informel à Chandigarh, au même titre que les zones de taudis spontanées, les colonies tolérées et celles illégales, et les villages environnants, tous s’établissent en marge de la ville et hors de la trame urbaine. L’article rapporte qu’en 2002, 14 zones d'habitat informel s’étaient implantées sur le territoire administratif de la ville, pour une population estimée à environ 70,000 personnes :  « Les colonies et les cités de transit, destinés à l'origine à loger provisoirement les ouvriers, sont toujours présents dans la ville, car tolérés par les autorités. Les villages ruraux et les colonies des années 1950 se sont déplacés au fil du temps, en fonction du développement urbain des secteurs » Chandigarh : d'une utopie sociale et architecturale.

Aujourd’hui, la municipalité tente d’apprivoiser ces territoires urbains marginalisés, l’autre réalité de Chandigarh, en construisant des écoles et des routes goudronnées .

Cependant , certaines colonies illégales ne sont pas aussi tolérées et ne font pas l'objet d'autant d'attention, le discours de Madhu Sarin, urbaniste et sociologue ( et spécialiste de la question des slums à Chandigarh) atteste de cela, en effet , il mets en lumière l’hypocrisie du propos de la ville à propos des bidonvilles : « Officiellement, les habitants des slums sont censés être relogés après la destruction du bidonville, mais on leur propose en réalité des prix bien trop élevés, ou alors il faut pouvoir attester que l'on vit là depuis un certain nombre d'années. Les slums se reforment donc à d'autres endroits, regroupant alors les restes de plusieurs anciens bidonvilles. »

Ces Slums accueillent généralement des populations rurales venus des régions de l'est : l'Uttar Pradesh et du Bihar, depuis des décennies pour certains.

Une expansion « anarchique » ?​

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​L’autre mutation de Chandigarh concerne sa densité, en effet, face au gigantisme indien, la ville compte 1,5 millions d’habitants avec une  périphérie qui s'est développée anarchiquement. (Pour une capacité de 500 000 habitants prévue par le schéma directeur initial, dans le cas d’une expansion logique et "naturelle de la trame urbaine) l’extension de la trame de Chandigarh vers le sud avait porté la création, hors de son Territoire, des dix-huit secteurs de  «l’ Aire notifiée »  de Sas Nagar, dans l’État de Pandjab. Les urbanistes, comme Madhu Sarin, questionne cette extension : «Chandigarh est une ville horizontale. Il n'y a pas de tours. Impossible de construire des gratte-ciel sans la défigurer. Le Corbusier, par exemple, n'avait prévu que 8 tribunaux alors qu'aujourd'hui il en faudrait 15 ou 20 pour assurer toutes les affaires. Mais on ne peut pas ajouter une annexe à un bâtiment construit par Le Corbusier !». C’est donc devenu une vaste agglomération, ou Chandigarh et ses limites se noient, cela mets en perspective un autre point essentiel de l’évolution de cette nouvelle ville, la relation de l’homme à la nature, dans cette ville-parc, en effet, les habitants de ces périphéries tendent à être coupé de la nature.

Une ville parc ?

Dans Chandigarh face à l’opinion : ville de l’avenir ou ville de l’Occident ?, Roland J.- L. Breton, questionne le rapport de la ville à son environnement naturel, est-ce que les promesses d’un soleil, espace et environnement de verdure pour chacun ont été tenues ? Plusieurs éléments attestent que oui, faisant de Chandigarh la meilleure ville de l’inde.

En effet, l’environnement rural reste préservé, et la trame verte s’insère dans l’urbain. « À l’intérieur du périmètre urbain, l’immense Secteur 1 laisse, sur près de cinq kilomètres de la bordure nord, un parc aménagé prolongé par un lac de retenue. Et, de là jusqu’au sud, les abords du torrent Atawa »

Cette écriture végétale  rendant Chandigarh moins polluée que la plupart des villes millionnaires de l'Inde.

Cependant, si la présence de végétation est indéniable, sa caractéristique principale, c'est-à-dire la continuité de la trame (théoriquement, elle permet de parcourir la ville en empruntant une succession de jardins, du secteur 36 jusqu'au secteur 1, celui du Capitole) qui permet une promenade en rupture avec l’agitation urbaine, ne semble pas respectée.

Pour passer d’un jardin à un autre, ou d’un secteur à un autre, on traverse souvent des axes importants.

Une architecture désuète ?

 

Le dernier point essentiel questionné dans l’évolution de la ville de Chandigarh est sa production architecturale, véritable marque de fabrique de la ville (et facteur de ségrégation) et dont la pièce maîtresse reste le complexe du Capitole qui regroupe le Palais de justice, le Secrétariat et le Palais des Assemblées (ainsi que les plans du palais du Gouverneur qui ne sera jamais construit).

Le zoning en vigueur dans la ville place ces entités représentatives d’un pouvoir politique au centre d’un territoire important , et les mets dans un rapport d’isolement à la ville.

 Les espaces publics qui les entourent , grandes places dilatées , renforcent cette impression de coupure urbaine : « La communion semble davantage se faire avec le paysage lointain des premiers contreforts de l'Himalaya et la nature environnante. La monumentalité de ces constructions et leur morphologie massive appuyée par l'emploi du béton symbolisent la puissance de l'Etat, et sa séparation avec la ville des citoyens. Mais pour les concepteurs, les espaces publics devaient représenter le Forum de la cité, le lieu de rassemblement et de discussions des citoyens. » (Nilsson).

Un regard critique peut également être porté sur le choix des matériaux par rapport au contexte climatique, Nilsson dresse le constat d’une haute cour mal adaptée aux conditions climatiques derrière son monumental brise-soleil : « La pluie bat à l’intérieur, elle est ouverte aux courants d’air et la plupart de ses pièces seraient invivables sans air conditionné » et pose une critique assez virulente sur L’Assemblée « avec son cône hyperbolique et sa pyramide dépassant le toit plat, pour garantir l’aération des deux salles, et son vaste forum intérieur, aboutirait au paradoxe que les gens dans l’Assemblée ne se rencontrent pas ».

Ces constructions restent néanmoins des éléments fondamentaux de l’imagibilité de la ville de Chandigarh ,de son identité visuelle et de son attractivité. Concernant le logement, Le Corbusier opte pour des constructions basses, loin de ses modèles d’immeubles villas pour une ville horizontale. Le Corbusier privilégie l'emploi du béton, mais avec la chaleur de l'été matériau et les forts taux d’humidité durant la saison des moussons, ce matériau est peu compatible, et évolue très mal dans le temps, au contraire des constructions en brique qui ont mieux résisté.

Pour conclure, on peut dire que Chandigarh, malgré ses problématiques d’expansion urbaine non maîtrisé en périphérie, ses paradoxes quant à l’intégration d’une mixité sociale dans la planification urbaine et un patrimoine architecturale qui peine à se préserver au regard des années , a su jouer son rôle de ville expérimentale. Elle  représente à ce jour  l’un des modèles les plus poussés de la matérialisation des enseignements du CIAM dans sa dimension la plus universaliste. Pour O. P. Mehta, architecte en chef de la Chandigarh Administration « C’est le seul laboratoire international où les résultats obtenus iront par-delà nous-mêmes pour contribuer à l’environnement urbain pour plusieurs décennies. »

Ainsi sa position de ville nouvelle symbole, manifeste d’une nouvelle façon de vivre la ville indienne, lui confère un rôle de modèle urbain ,d’exemple précurseur et en définitive c’est les habitants de Chandigarh qui témoignent le mieux de leur désir de continuer à vivre dans leur ville , en s’opposant fermement à tout transfert ailleurs, dès que Delhi exprima son projet de construire une autre capitale pour l’Haryana.

 

 

 

Bibliographie

 

Livres :

 

Boesiger Willy, Le Corbusier, les dernières œuvres, volumes 8, les éditions d’architectures Artémis Zurich.

Boesiger Willy, Le Corbusier et son atelier de Sèvres, volumes 6, les éditions d’architectures Artémis Zurich.

Le Corbusier - Pierre Jeanneret. Chandigarh, India, Galerie Patrick Seguin Mémoires : Roland J.-L. Breton Chandigarh face à l’opinion : ville de l’avenir ou ville de l’Occident ? p. 81- 95

 

Articles :

 

Sten Nilsson, The New Capitals of India, Pakistan and Bangladesh, Curzon Press, Scandinavian Institute of Asian Studies, Monograph Series n° 12, Londres & Malmö, 1973.

Laboratoire urbanisme insurrectionnel .blogspot, Chandigarh : d'une utopie sociale et architecturale

Albert Levy, Le Corbusier et la question de l'innovation architecturale et urbaine, Les Annales de la Recherche Urbaine Année 1988 37 pp. 55-67

Chandigarh, l’odyssée indienne de Le Corbusier, Inès Boittiaux, Beaux-arts magazine

Breton, Roland J.-L. “Chandigarh face à l’opinion : ville de l’avenir ou ville de l’Occident ?”. L’architecture : la réception immédiate et la réception différée, edited by Gérard Monnier, Éditions de la Sorbonne, 2006,

Roland Breton, « Chandigarh : le modèle urbain de Le Corbusier à l’épreuve d’un demi-siècle », Colon, Colonie, Colonial, Villes coloniales, Collège international de philosophie et École d’architecture de Paris, Éditions de La Villette, 2006.

 

 

Vidéos :

 

Chandigarh: planifier le bonheur, Leslie Fauvel.

Chandigarh : de la ville moderne à la ville contemporaine, conférence de l’ENSA Strasbourg

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CHANDIGARH, Master Plan, Le Corbusier, 1951

CHANDIGARH, Trame verte, Le Corbusier

CHANDIGARH, Trame verte, Le Corbusier

Chandigarh, la main ouverte, Le Corbusier, Photo S. Herbert

Chandigarh : d'une utopie sociale et architecturale, Laboratoire urbanisme insurrectionnel

Développement urbain de Chandigarh open spaces in Chandigarh , Sandypkumar Prajapat

Chandigarh, un des nombreux parcs, Photo S. Herbert

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